LÉGISLATIVES : Le Président de la CJRS salue la neutralité des journalistes
Le président de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS), Ibrahima Baldé, s’est réjoui, mercredi, de la neutralité affichée par les journalistes à l’occasion des élections législatives du 31 juillet durant lesquelles ils ont, dit-il, abattu un ‘’travail remarquable’’.
‘’Je voudrais à l’entame de mes propos, féliciter l’ensemble des jeunes reporters pour le travail remarquable qu’ils ont abattu durant les élections législatives du 31 juillet dernier’’, a-t-il déclaré.
Il intervenait lors d’un atelier d’échanges sur ’’les instruments de promotion de la redevabilité et de lutte contre la corruption à l’Assemblée nationale’’.
‘’Organisation et fonctionnement de l’Assemblée nationale : les pouvoirs des députés, le travail parlementaire et les relations entre l’exécutif et le législatif’’ est le thème de cette rencontre initiée notamment par la CJRS.
Ces législatives ont été des ‘’moments très riches en instruments sur l’équité et l’égalité dans les productions des journalistes en tant qu’arbitres du milieu politique et démocratique’’, s’est réjoui Ibrahima Baldé.
Selon le président de la CJRS, les journalistes ont accompagné les Sénégalais dans le choix de leurs représentants à l’Assemblée nationale. Ils doivent être fiers, d’avoir joué leur rôle avant, pendant et après ces élections.
Il a rappelé que la CJRS a accompagné les journalistes pendant et après les périodes électorales, relativement aux dispositions du code électoral, du code de la presse, et aux comportements à adopter en période électorale.
‘’Nous sommes aujourd’hui interpellés avec cette nouvelle législature, sur les questions d’organisation et de fonctionnement de l’Assemblée nationale, les pouvoirs des députés, le travail du parlementaire et les relations entre l’exécutif et le législatif pour une certaine viabilité et un certain équilibre’’, a expliqué M. Baldé
A l’en croire, le travail du journaliste doit naturellement se poursuivre pour être au service exclusif de l’intérêt général. Il estime que ce dernier doit notamment faire preuve de prudence sur les questions qui seront abordées à l’Assemblée nationale.
Aps
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